Oude Meer, 28 mars 2024 – GLS s'engage à définir des objectifs, à court et à long terme, fondés sur la science (SBTs ou science-based targets en anglais), afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) dans l'ensemble de ses activités, conformément à l'initiative Science Based Targets (SBTi). Par cet engagement, GLS reste fidèle à sa mission de longue date de protéger l'environnement et de réduire son empreinte carbone.
Encadrée par son programme de protection de l'environnement, Climate Protect, GLS met continuellement en œuvre des mesures visant à éviter et à réduire ses émissions de carbone. En s'associant à la SBTi, GLS franchit une nouvelle étape pour s'assurer que sa stratégie de réduction s'aligne sur les avancées scientifiques les plus récentes en matière de climat.
Dr Karl Pfaff, PDG de GLS, a déclaré : « Nous sommes fiers de vous annoncer notre engagement à mettre en place des SBTs, ce qui témoigne de notre ferme engagement envers le développement durable. Cela garantit que nos efforts restent en phase avec les dernières avancées scientifiques en matière de climat alors que nous continuons à investir dans nos opérations et à avancer sur le chemin exigeant d’un avenir plus vert. »
Au cours des deux dernières années, GLS a presque doublé le nombre de véhicules à faibles émissions ou zéro émission, comptant désormais plus de 4 300 véhicules* dans sa flotte de transport. L’entreprise a d’ailleurs introduit ses premiers camions électriques au Canada ainsi qu’en Italie, et elle explore toujours de nouvelles options, comme un camion à hydrogène présentement testé en Allemagne. De plus, GLS utilise de l'électricité renouvelable dans plus de 80% de ses bâtiments opérationnels.
Dans le cadre de cet engagement, GLS compte travailler en étroite collaboration avec la SBTi afin de définir des objectifs de réduction des émissions de GES pour les portées 1, 2 et 3. L’entreprise vise à soumettre ces objectifs pour validation par la SBTi d'ici la fin de l’année 2024.
* Cela fait référence à des véhicules qui, pendant leur utilisation, produisent soit des émissions considérablement plus faibles que les véhicules diesel et à essence (par exemple, les véhicules GNL, GNC ou GNR), soit aucune émission (par exemple, les véhicules électriques ou à hydrogène).